Le développement durable : composante essentielle du capitalisme durable
Le terme d’écologie est dû au biologiste allemand E. Haeckel (1866). La théorie économique du welfare (Pigou, 1920) montre que les décisions publiques ont des effets privés : les externalités. On peut y adjoindre le principe du pollueur-payeur.
La conférence de Stockholm (juin 1972) est à l'origine du PNUE, avec la proposition d'un éco-développement, thème formalisé avec le développement durable. En plus de 40 ans, le PNUE n'a pas répondu aux attentes des pays en développement.
L'habitat est responsable de la majeure partie des émissions de Co². Le Bioclimatisme propose des réponses. La problématique est similaire pour le transport, avec la mobilité durable.
La consommation d'énergie que nous réalisons dépasse très largement les capacités de la planète. Le recours aux énergies renouvelables et notamment à l'énergie solaire est une solution.
Pour maintenir les équilibres sociétaux, le commerce équitable introduit une composante de justice sociale dans le capitalisme. Dans les pays développés, l'assurance santé est généralisée, mais elle tend à disparaître au profit d'une assurance complémentaire.